"Zardoz, le chef-d'oeuvre raté donc chiant" 15 février 2006

Un film, non, une oeuvre d'art.

Bien qu'en fait les films peuvent etre consideres comme des oeuvres d'arts.

J'ai du mettre trois ans à la digerer, cette grosse merde.

Un casting enorme , Sean Connery (un beauf, que je n'aime que dans les premiers James Bond).

Des dénouements à la limite du supportable , qui ne se seraient pas révélés si complexes si la personne les regardant ne se serait pas endormi en essayant de les comprendre.

Le pouvoir de suivre la progression philosophique du heros,  cottoyant un peuple de penseurs sortis tous de Shoppy.

La sagesse contre la brutalité. Une opposition assez speciale, j'en ai mal à la tete.

Un peuple essentiellement composé de femmes à seins nus (ouais faut bien que le film ait un réel interet, sinon il sert à rien ce film quoi!)

Un grand masque en pierre volant , avec à l'interieur Sean Connery (ah ouais..! ben non toujours pas compris).

Un peuple de fous furieux en slip rouge armés de Colt et de winchester (?) , des cow boy de l'espace from hell.

Une scéne dans un espece de diamant, incompréhensible (mais nan c'est normal faut le voir plusieurs fois, c'est tellement magnifique) -merci.

La réponse aux énigmes à la fin qui t'oblige à revoir le début du film pour les comprendre réellement.

Les énigmes qui n'ont pas vraiment d'importances face à la question existencielle que tout le monde se pose après l'avoir regardé : pourquoi suis-je resté cloué à mon fauteuil pendant plus de trois heures devant une sombre merde qui se voulait psychedelique et cérébrale, qui n'a cependant réveillé aucune reflexion de ma part.

Un nanard? oui.